Benabar

BÉNABAR

Bénabar commence sa carrière par la réalisation de trois courts-métrages : Nada Lezard (1991), Sursum corda (1994) et José Jeannette (1992). Ce dernier film, primé au Festival de Cognac, reçoit également le prix Georges de Beauregard et le prix spécial du jury à Montréal.  Bénabar exerce aussi ses talents comme scénariste à la télévision, principalement pour la série « H » et « La Famille Guérin » sur Canal+. Il se met ensuite à composer, écrire puis interpréter des chansons. Il se produit à l’époque dans des petites salles et dans des bars, en duo avec un ami, avec qui il crée un duo aux noms de clowns, « Patchol et Barnabé ». Patchol, qui a pour habitude de parler verlan, appelle Barnabé « Bénabar » : ce dernier décide d’adopter ce nouveau nom. Patchol finit par renoncer mais une spectatrice assidue du duo, devenue manageuse, pousse Bénabar à continuer et entreprend de le lancer.

Avec ses « associés », il sort un premier album en 1997, sans titre, qui sera par simplification rebaptisé du nom de son premier titre, « La P’tite Monnaie », et qui reste très confidentiel. C’est en 2001 avec l’album « Bénabar » qu’il passe un peu en radio (sur France Inter notamment chez Jean-Louis Foulquier) puis fait la première partie d’Henri Salvador à la fin de l’année. Depuis, le succès est au rendez-vous.
en 20 ans de carrière, Bénabar a joué dans de nombreux films, de nombreuses pièces de théâtre et a composé 8 albums.

Le titre « Tous les divorcés » (disponible actuellement sur les plateformes de téléchargement) est sa dernière chanson, tirée du prochain album à venir.

Michèle BERNIER

Michèle Bernier suit une formation théâtrale, pendant laquelle elle participe régulièrement en tant que complice aux spectacles d’hypnose de Dominique Webb. Plus tard, elle intègre Le Petit Théâtre de Bouvard en compagnie de nombreux humoristes. Elle participera également à l’émission Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard en 1983. Elle part pour créer un trio comique féminin, les Filles, en compagnie de Mimie Mathy et d’Isabelle de Botton, aventure qui durera sept ans.

Comédienne au cinéma en parallèle, elle devient par la suite animatrice de radio aux côtés d’Arthur3, elle obtient également un grand succès au théâtre en 2003 avec l’adaptation du Démon de midi, bande dessinée de Florence Cestac.

Elle participe également à l’émission de Laurent Ruquier, « On va s’gêner », sur Europe 1.

Le 13 février 2007, Michèle Bernier a présenté une soirée de variétés « 1967, La révolution sexuelle en chansons » en première partie de soirée sur France 3.

En 2010, elle participe très brièvement à l’émission de Laurent Ruquier, « On n’demande qu’à en rire », sur France 2 en tant que jurée, sur seulement deux émissions. Elle y revient à partir de la saison 3, en septembre 2012 où elle apparaît plus souvent, à titre régulier.

En 2014, elle réintègre l’émission de radio « Les Grosses Têtes », suivant ainsi Laurent Ruquier d’Europe 1 à RTL. Elle est actuellement à l’affiche de la 5ème saison de la série télévisée « La stagiaire » diffusée sur France 3.

Pascal ELBÉ

Après plusieurs années passées sur les planches, Pascal Elbé intègre l’univers du septième art en 1995 en cosignant avec Gérard Pullicino le scénario du film fantastique Babel. Un an plus tard, il fait ses débuts devant la caméra dans Fallait pas !…, une comédie réalisée par Gérard Jugnot. Spécialisé dans le registre comique, Pascal Elbé tourne à trois reprises sous la direction d’Ariel Zeïtoun (XXL, Bimboland, Le Dernier Gang), puis s’illustre dans des « films de potes » comme Les Parasites (1999), Le Raid (2002) Nos amis les flics (2004), et Trois Amis (2007).

En 2003, il incarne l’un des trois rejetons de Philippe Noiret dans Père et Fils, la première réalisation de Michel Boujenah dont il est aussi coscénariste. Cette performance, aux côtés de Charles Berling et Bruno Putzulu, lui vaut une nomination pour le César du Meilleur jeune espoir masculin. 2005 est également une année chargée pour lui : auteur et interprète de la pièce Pour ceux qui restent, Pascal Elbé enchaîne trois longs métrages, dont un film noir – Les Mauvais Joueurs aux côtés de Simon Abkarian – et deux comédies à tandem, L’Amour aux trousses avec Jean Dujardin et Le Cactus avec Clovis Cornillac.

Après de nombreux films à son actif, il rejoint en 2018 le casting de la série politique Baron noir avec Kad Merad et Anna Mouglalis. Il joue le rôle d’un centriste libéral.

Depuis le 11 mai 2014, il présente chaque dimanche le documentaire Israël à la croisée des mondes sur D8, un programme qui montre un « nouveau visage » d’Israël.

Cécilia HORNUS

Avant tout comédienne de théâtre, (elle est diplômée du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris), elle joue depuis le 30 août 2004 le rôle de Blanche Marci dans la série Plus Belle La Vie.

Elle a également mis sa notoriété au service de différentes œuvres caritatives telles que le Téléthon ou encore en participant à l’émission Fort Boyard. Elle parle couramment anglais et possède de bonnes notions de russe. Elle s’implique dans l’association ELA avec d’autres comédiens de Plus Belle La Vie dont Dounia Coesens qui jouait sa fille dans le feuilleton.

Elle est Marraine d’Honneur de l’Association ELA (Association Européenne Contre Les Leucodystrophies).

Elle s’investit également dans l’Association Contre Le Cancer Du Sein, Le Ruban Rose.

Elle est présente au Festival d’Avignon en 2013 puis en 2014 la pièce « Bon Anniversaire Mon Amour », écrite par son mari Thierry Ragueneau, rencontré sur le tournage de Plus Belle La Vie. La pièce est un succès et sera suivie d’une tournée théâtrale dans toute la France.

En 2016, toujours au Festival d’Avignon, elle joue la pièce Après La Pluie de Sergi Belbel (3 nominations aux Molières et Molière du meilleur spectacle comique) dans une mise en scène de Marion Bierry.

 

Yann QUEFFÉLEC

Yann Queffélec est l’auteur de nombreux ouvrages.

Son deuxième roman, « Les Noces barbares » a reçu le prix Goncourt en 1985.

Après « Naissance d’un Goncourt » (2018) et « Demain est une autre nuit » (2019), « La mer et au delà » est son troisième livre publié chez Calmann Lévy.

Ce dernier ouvrage, récit tragique et vibrant sur la vie de Florence Arthaud, sort le 21 octobre en librairie.

Mathilda MAY

Après des études de danse classique au Conservatoire National Supérieur de Paris dont elle obtient le premier prix, elle se tourne vers la comédie et débute dans «Némo» de Arnaud Sélignac (1984). Après avoir tourné pour Claude Zidi et Georges Lautner, elle obtient le César du Meilleur Espoir Féminin pour «Le cri du hibou» de Claude Chabrol en 1988, ainsi que le prix Romy Shneider. Elle tourne ensuite en compagnie de Yves Montand pour Jaques Demy «Trois places pour le 26» (1988), avec Michel Deville dans «Toutes peines confondues» (1992). Elle travaille également hors de France notamment avec le réalisateur allemand Werner Herzog dans «Cri de roche», en Espagne avec Bigas Luna dans «La teta y la luna» (1994), et aux états unis dans «Le chacal» (1997) de Michael Caton-Jones aux côtés de Richard Gere et Bruce Willis. Elle interprète pour Disney la voix française de Pocahontas (1995). Sur les planches, Bernard Murat la met en scène dans «Le retour» d’Harold Pinter (1994), entourée de Jean Pierre Marielle, Patrick Chesnais, François Berléand, Roger Dumas et Guillaume Depardieu.

En 1992 elle collabore avec des compositeurs anglais et américain pour la composition d’un album (sorti chez Sony) qui lui vaudra une nomination aux victoires de la musique. En 1997, elle compose la musique de la pièce «Le roman de Lulu».

En 2008 après avoir écrit un roman paru chez Flammarion «Personne ne le saura», elle initie le spectacle «Plus si affinité» qu’elle joue et co-écrit en tandem avec Pascal Légitimus. Ce spectacle a été joué successivement au Splendid, au Casino de Paris, au théâtre du Gymnase, à L’Olympia et en tournée en France, Suisse et Belgique, trois années durant. Ensuite, elle a joué au Théâtre National de Nice ainsi qu’au Théâtre du Rond Point, et au théâtre des Célestins à Lyon, la pièce de Thomas Winterberg «Festen, la suite» aux côtés de Samuel Le Bihan, Mélanie Doutey et Pierre Cassignard, dans une mise en scène de Daniel Benoin.

En 2013, elle crée «Open Space», un spectacle sans paroles dont elle est à la fois auteur, metteur en scène et compositeur, au Théâtre Jean Vilar de Suresnes. Ce spectacle a été repris en ouverture de saison du Théâtre du Rond Point début septembre 2014, puis au Théâtre de Paris avant d’entamer une tournée jusqu’à début février 2016.

En 2016, elle met en scène un ballet hip hop dans le cadre du festival « Suresnes Cité Danse », ainsi qu’une soirée de lectures dans le cadre du festival « Paris des femmes ». En 2018 elle tourne une série (en tant que comédienne) pour C8 avec Ahmed Sylla et elle sort chez Plon, son premier récit autobiographique intitulé V.O. Récompensé par deux Molières (mise en scène théâtre public, et révélation féminine pour Ariane Mourier), son dernier spectacle « Le Banquet » a été joué en ouverture de saisondu Théâtre du Rond Point en octobre 2018, avant d’entamer une première tournée. Unedeuxième tournée est en cours, avant une reprise au Théâtre de Paris en janvier 2020